~Identité~Nom:Giakuri
Prénom:Matsuko
Age:24
Origine:Japonaise
Sexualité:Nada(normale en gros...)
~Information~Histoire:Matsuko est née dans une famille japonaise traditionnaliste. Ce qui est, vous en conviendrez, de plus en plus rare au 20e siècle. Fille ainée des Giakuri, sa vocation fut décidée dès son plus jeune âge : elle reprendrait l’école de musique familiale. Elle fut donc initiée très tôt aux instruments de musique traditionnels tels que le shamisen, le shakuhachi ou encore le koto. Elle se révéla être douée pour la musique, héritant ce talent de son père. Ses parents, ravis, plaçaient tous leurs espoirs dans leur progéniture.
Parallèlement à cet enseignement, Matsuko suivait l’école comme toutes les petites filles japonaises de son âge. Elève studieuse et appliqué, elle eut une enfance heureuse et sans soucis. Et tandis qu’elle entrait dans l’adolescence, une petite sœur vint agrandir la famille.
C’est à cette période que commencèrent les premiers différents entre Matsuko et son père. Elle était désormais au lycée et découvrait le reste du monde à travers les livres et les cours. Tout était si différent du Japon… Cela la fascinait, lui donnant des envies de voyages et de liberté. A l’opposé, le traditionalisme exagéré de son père, qui le fermait à tout ce que le monde contemporain offrait, oppressait de plus en plus la jeune fille.
Peu après, elle entra dans une des plus grandes universités de musique de Tokyo. On lui apprit à jouer avec des instruments occidentaux, allant de la guitare à la clarinette. Son don naturel pour la musique transcenda l’inconnu et elle devient rapidement une excellente musicienne. C'est également ainsi qu'elle découvrit ce qui deviendrait son instrument de prédilection : le piano. Elle en était tombée amoureuse. Les mélodies produites par les touches pouvaient à la fois être douces et dynamiques. De plus, en jouer l’apaisait plus que n’importe quoi d’autre…
Son père quant à lui se montrait tout à fait réticent à ces pratiques, maudissant cette si prestigieuse université d’oublier leurs valeurs traditionnelles.
Alors que la jeune fille entamait sa dernière année d'étude, l’université lui proposa une bourse pour partir à l’étranger. Evidemment, son père refusa catégoriquement… Mais la jeune fille était devenue grande. Elle avait à présent 23 ans et voulait décider de sa vie elle-même. Et elle avait décidé de profiter de cette opportunité. Sa mère, qui depuis des années n'avait pas pris parti, donna son accord à sa fille. Malgré les protestations de son père, Matsuko partit donc l'été même à New York, laissant ses parents et sa petite soeur alors âgée de 14 ans.
Elle passa une année extrordaire aux Etats-Unis, fréquentant le célèbre New York Conservatory of Music pour y parfaire son jeu de piano, tout en suivant des cours pour devenir enseignante. Elle participa même à un opéra de piano qui lui laissa un souvenir inoubliable. Elle parlait maintenant couramment anglais et gardait en mémoire cet enrichissant voyage hors du Japon. Lorsqu'elle rentra dans son pays natal, elle avait terminé ses études et pouvait désormais travailler. Mais elle annonça solennellement à ses parents qu'elle ne comptait pas reprendre l'école de musique traditionnelle de la famille. Elle voulait enseigner la musique, mais dans un lycée.
Matsuko quitta la demeure familiale pour s'installer à Kyoto et elle allait bientôt être engagée à l'académie kami no san comme professeur de musique...
Physique: Matsuko est une jolie jeune femme d’une vingtaine d’années. Mince, de taille moyenne, elle a une silhouette plutôt banale. Ses grands yeux noisette donnent cependant à son portrait un charme peu commun. Elle a également hérité d’une peau pâle qui souligne d’autant plus l’intensité et la chaleur de son regard. Ses traits fins confèrent à son visage féminité et douceur. Bien que la plupart du temps elle conserve une expression neutre, quelques sourires illuminent parfois son visage.
La jeune femme porte par ailleurs de longs cheveux bruns, caractéristiques de sa nationalité. On remarque aussi que ses mains sont fines et soignées, dotées de longs doigts parfaits pour la pratique de la musique.
Enfin pour ce qui est de sa tenue vestimentaire, elle aime porter des vêtements japonais traditionnels, suivant la coutume familiale. Elle sort donc souvent habillée de magnifiques kimonos transmis par les femmes de sa famille. Et il faut avouer que ces vêtements lui vont à merveille, s’accordant à son allure élégante.
Mais malgré son apparence pleine de délicatesse et de raffinement, cette demoiselle a un fort caractère.
Qualité et Défaut: Orgueil.
Je suis l'incarnation même du pêché d'orgueil, ou du moins, c'est ce qu'on dit de moi. Mais, je dois bien l'avouer, je ne peux guère dire le contraire. Je ne peux supporter qu'on me contredise, ou pire, que l'on me montre mes torts. Ceux qui en savent moins que moi devraient se taire, et malheureusement, ça n'est que rarement le cas.
Paresse.
Le luxe m'y a poussé, presque naturellement. Je n'aime pas m'affairer. Si je travaille, c'est uniquement par nécessité. Et puis, je dois dire que j'ai tendance à préférer que les autres le fassent à ma place.
Gourmandise.
Je ne suis pas gourmand dans le sens habituel ; ça serait plutôt l'inverse. Je mange peu. En revanche, j'aime les bonnes choses. Encore une fois, c'est une répercussion de mon ancienne vie, je pense.
Colère.
On peut clairement dire que je suis colérique. Il y a beaucoup de choses qui m'agacent ou même me mettent hors de moi. Quand cela arrive, j'ai une fâcheuse tendance à détruire le premier objet qui me tombe sous la main. Y compris lorsqu'il ne s'agit pas d'un objet, mais d'une personne. Fort heureusement pour mon entourage, ma carrure réduit considérablement les risques.
Cupidité.
Évidement. J'ai été habitué à une vie faste des années durant et, même si cette époque est révolue, j'aime la richesse. J'ajouterai également que j'aime que les gens riches dépensent pour moi.
Luxure.
Je ne le cache pas. Le plaisir charnel est une véritable drogue pour moi. Je multiplie les conquêtes et ne prête guère attention à l'identité de mes compagnons. Je crois que cela vient du fait que j'ai un besoin irrépressible de me sentir admiré, aimé.
Envie.
J'aime à dire que j'ai tout ce qu'il me faut, que je me suffit à moi-même, mais... je ne peux m'empêcher d'envier ceux dont la vie paraît si simple, si tranquille. J'envie ceux qui ont ce qu'il ma manqué : une famille qui n'en n'a pas que le nom.
~Carnet de travail~Métier:Professeur de Musique
Esprit protecteur: []oui
Orientation: Bon
Niveau: Allez A!
~Esprit protecteur~Nom:Kasuga
Image:Pouvoir: Contrôle mental
Orientation: bon
~Vous~Comment avez-vous connu le forum?Grace au pensionnat Keizo
Pas trop le temps donc je continuerai un autre jour!